vendredi 29 février 2008

Février... rien à dire...

Je vous écris aujourd’hui un texte sans but, un texte qui ne veut rien dire, un texte juste pour dire que j’écris un texte !

Il faut manquer de sujet de conversation pour oser écrire pour ne rien dire. Il semble que ce soit le cas pour le mois de février. Si je compare à ma moyenne de 2007, février est un mois où je n’ai rien à raconter de spécial !

Si je m’interroge sur les raisons possibles de ce manque d’inspiration, je pourrais nommer l’effervescence des sentiments ressentis parce que février rime avec notre anniversaire de couple et avec la Saint-Valentin. J’ai moins la tête à l’écriture, plus la tête à penser à toi et à célébrer notre union.

Février correspond aussi à la période de la semaine de relâche et toutes les collègues de bureau prennent congé pour être avec leurs enfants ce qui fait que je suis un peu plus occupée que d’ordinaire au bureau.

Février me rappelle aussi qu’on nage, ou plutôt qu’on glisse, en plein cœur de l’hiver. La température me déprime, il est tombé plus de neige qu’au pôle nord ce qui occupe mon temps à chercher un stationnement ou à déneiger un petit bout de rue pour garer ma voiture.

Finalement, pour conclure ce texte sans but, je me rends compte que si je ne t’avais pas rencontré et que je n’avais pas changé de voiture en février, il est fort probable que je n’aurais eu rien à dire entre le 31 janvier et le 1er mars !

dimanche 17 février 2008

Le cash du bar...

Est-ce qu'il vous est déjà arrivé de devoir faire un bilan financier sans que vous n'ayez été témoin des différentes transactions qui se sont effectuées en cours de route?

Vous est-il déjà arrivé de devoir justifier les dépenses d'une équipe de balle molle durant toute une saison alors que tout ce que vous avez en main sont quelques notes sur des bouts de papier disparates, un montant d'argent à déposer, un solde de compte bancaire et des souvenirs imprécis des événements...

C'est loin d'être évident. D'abord, je dois dire que j'ai toujours détesté tout ce qui se rapportait à la comptabilité au cégep et qu'on a perdu mon attention, mon intérêt et ma compréhension après les notions de débit - crédit qui était tout le contraire de ce qu'on m'avait toujours expliqué jusqu'alors.

Donc, par amour et par désir de passer une journée de plus avec Toi, j'ai décidé bien vouloir t'aider à balancer ton budget de balle molle, malgré ma haine intrinsèque de la question financière.

Ça nous a pris 4h (sans compter le 4h qu'on avait mis il y a déjà quelques mois) pour arriver à un montant X avec des "peut-êtres", des "je pense que" et des "ça doit être ça". Pour finalement avec un mince espoir de balancer un budget qui date déjà de six mois.

Note à la planète entière: Ne jamais remettre à plus tard un budget que vous devez balancer.

Après avoir essayer différents scénarios, différents calculs et toute sorte de possibilités, on en est venu à quelque chose de possible. Espérons que la mise à jour du livret de banque nous éclairera davantage et confirmera notre bilan.

Une seule question me reste en tête après, avouons-le franchement, cette torture mentale :

Yé où le cash du bar?

samedi 16 février 2008

À travers ton regard

Je ne me lasse pas de me perdre au fond de tes yeux. Même après une année entière, je ne peux que rester sans voix, chaque fois que je plonge mon regard dans le tien.

C'est comme une force surnaturelle qui m'empêche de détourner la tête. Comme un mirage en plein coeur du désert. Je ne voudrais surtout pas cligner des yeux pour perdre cette vision. Je retiens mon souffle, je concentre mon attention pour remarquer chaque petit détail.

Ces petites lignes plus foncées juste sur la gauche; la couleur de l'iris qui change tantôt sur le vert, tantôt sur le brun selon l'angle de la lumière qui y pénètre; l'expression d'une douceur permanante qui transparait chaque fois que tu me regardes sont autant de caractéristiques que je me plais à observer.

Peut-être n'avais-je pas réellement porté attention auparavant, mais je n'ai jamais rencontré, de toute ma vie, un regard si intense et expressif. Dans tes yeux je vois tant... Tant d'amour, tant de bien-être, tant de souvenirs, tant de paix que je ne saurais les décrire.

Une infime partie de toutes tes pensées me parvient à travers tes yeux. Je ne peux que remercier la vie de me faire un aussi beau cadeau : autant de sentiments positifs à mon égard que je ne puis en demander.

On dit que les yeux sont le miroir de l'âme... à travers les tiens je peux voir toute la beauté du monde et tout l'amour qui t'habite...

mercredi 13 février 2008

Pu capable !!

L’hiver, on aime ou on n’aime pas. La blancheur immaculée de la neige – qui n’a pas le temps de se salir parce qu’il neige pratiquement chaque jour - habille magnifiquement le paysage urbain de la grande métropole.

Sauf que cette année, je ne suis plus capable. Je suis écœurée de pelleter, de souffrir de troubles respiratoires, de craindre de sortir par peur de me faire « voler » mon stationnement que j’ai mis 2h à déblayer.

C’est rendu que je vais faire l’épicerie à pied : 30 minutes aller, 30 minutes revenir chargée de paquets pour éviter de déplacer mon véhicule par jour de tempête – au grand vent, au grand froid, en marchant sur des trottoirs enneigés, ce qui rend pénible la marche.

Je ne sais pas ce qui se passe cette année avec le déneigement, mais la ville en a reperdu depuis l’an dernier. Je peste encore contre les horaires d’interdiction de stationner qui sont posés sur un côté de rues de toutes les rues du quartier entre 19h et 7h… Si au moins c’était réparti, si au moins ils sautaient une rue entre celles où il y a une interdiction… ça nous donnerait plus d’endroit pour stationner.

Avez-vous vu les nouvelles qui ont annoncés plus de 3000 places de stationnements disponibles lors des soirées de déneigement ? Ces fameuses places disponibles sont situées en plein cœur du centre-ville où personne ne réside… Je ne comprends pas la logique.

Bref, tout ça pour dire que j’en ai soupé de la neige. J’ai hâte de mettre mes souliers, de ranger mes pelles et balais à neige et de voir un peu plus de gazon et d’asphalte.

lundi 11 février 2008

À toi...

La vie fait parfois bien les choses. C'est une vérité pleine de sens. J'irais même jusqu'à affirmer que la vie fait parfois parfaitement bien les choses.

Il y a de ça un an aujourd'hui que je t'ai dit "Je t'aime", un "Je t'aime" sincère et ressenti. Durant la dernière année, j'ai continué d'assembler les pièces du puzzle que j'avais commencé à mettre en place alors qu'on venait de se rencontrer.

Pièce no. 12 : Une relation qui débute sur les chapeaux de roues où chaque moment libre dont nous disposons est consacré exclusivement à l'autre.

Pièce no. 13 : Un avertissement, sombre et inquiétant, qui t'a fait reculer, douter, hésiter et craindre que ton nouveau petit bonheur naissant ne s'envole. Te souviens-tu? " Si tu veux que je sois là, je serai là ". Le corps encore tremblant, tu avais fait Oui de la tête.

Pièce no. 14 : Des nuages, encore des nuages gris à l'horizon et je ne parle pas seulement de mauvaise température prévue à chaque journée où on doit se voir, non je parle d'événements négatifs qui sont tombés sur notre relation : ta nouvelle colocataire, tes horaires de travail de soir et de weekend, de nouveaux contrats de musique.

Pièce no. 15 : Une solidarité peu commune qui nous a unis dans l'adversité. Nous avons retroussé nos manches pour s'accrocher à nous deux. Notre désir de vouloir que cette relation soit vécue de belles façon, autant pour soi, que pour l'autre, a finalement triomphé.

Pièce no. 16 : De longues soirées au Ciné-Parc à passer enfin des moments calmes à se tenir par la main en regardant (ou non) deux films au grand écran. Cette sensation extraordinaire que je ressentais en revenant chez moi, bravant la nuit, jusqu'à ce qu'il fasse jour pour enfin, aller m'étendre dans mon lit alors que la ville entière était déjà éveillée.

Pièce no. 17 : Une semaine de vacances rêvée à partager notre vie de tous les jours ensemble. Il a plu chaque jour, oui. Mais nous en avons profité pour apprendre à se connaître plus intimement en se racontant à l'autre en toute simplicité.

Pièce no. 18 : Un projet commun qui nous a réuni : la musique. Tu désirais m'intégrer à ta vie, à tes loisirs autant qu'il se peut afin qu'on puisse passer encore plus de temps ensemble.

Pièce no. 19 : Tu m'as finalement présenté tes amis et je dois avouer que je me suis vraiment bien sentie avec eux. C'est difficile à expliquer, mais j'ai l'impression de compter pour eux. Ils m'ont tellement bien intégré à votre groupe. Ils s'intéressent à moi, à ma vie et j'espère leur rendre aussi bien qu'ils le font pour moi.

Pièce no. 20 : Une proposition que tu m'as fait et qui m'a étonnée : trouver un appartement juste pour nous. Un tout petit nid douillet secondaire qu'on pourrait organiser à notre guise.

Pièce no. 21 : La grande fierté que je ressens lorsque tu te produis sur la scène. De te voir, aussi à l'aise, à divertir tous ces gens qui sont venus pour t'entendre et s'amuser. D'entendre tous les commentaires positifs de la part des visiteurs, de voir leurs sourires, de les voir danser...

Pièce no. 22 :
11 février... je n'ai pas oublié...

Voilà toutes les raisons qui ont fait que la dernière année à été une des plus belles que j'ai vécue à ce jour et qui confirment simplement que, plus que jamais...

Je t'aime toujours autant, Toi !!!

Un bout de paradis

Qu'est-ce que c'est, pour vous, le paradis? Une semaine de vacances dans le Sud, allongé dans un hamac à se faire dorer par le soleil, ayant comme paysage un ciel aussi bleu que l'océan et un océan aussi bleu que le ciel?

C'est une façon de voir la vie ! :) Pour ma part, le paradis est loin d'être un lieu précis ou un moment d'une durée précise. C'est plutôt un état d'esprit, un état de bien-être.

Je viens de passer cinq journées extraordinaires. Cinq journées de rêve et non, je n'étais pas dans le sud. J'ai passé les cinq derniers jours à vivre avec toi au quotidien, comme on pourrait le faire si on habitait ensemble.

Je m'étais réservée deux journées de congé afin d'avoir une longue fin de semaine avec toi. Même si tu travaillais jeudi et vendredi, j'ai fait quelques prises de conscience durant cette fin de semaine.

Le contexte était loin d'être le même que durant notre semaine de vacances ensemble l'été dernier. J'avais l'impression de voir une partie de mon futur (du moins une partie du futur que je souhaiterais vivre).

De vivre avec toi, au quotidien, malgré le travail, les contraintes de l'épicerie et du déneigement. Vous savez, une routine banale de vie à deux. Rien de clinquant, rien de tape-à-l'oeil, juste une routine banale.

J'ai entendu sonner ton cadran à 7h30. Je t'ai senti te lever et aller te préparer pour le boulot. Je me suis tournée pour m'allonger un peu à ta place, pour te sentir juste encore un peu contre moi.

J'ai finalement ouvert les yeux. Je suis descendue préparer le café et le petit déjeuner. Je te vois apparaître au coin de l'escalier, les cheveux encore mouillés. Tu manges en vitesse et remonte terminer de te coiffer.

C'est l'heure de partir, le manteau sur le dos, ta tasse de café à la main, je te serre contre moi en te souhaitant une bonne journée au travail. J'ai adoré ça !!!

Je me suis quand même occupée de moi toute la journée, j'ai dîné avec ma mère, j'ai fait quelques commissions, déneigné l'entrée, etc. Mais l'instant que j'ai préféré c'est lorsque l'horloge a affiché 17h30, et où je savais que tu revenais à la maison. J'avais hâte de te voir entrer, j'avais hâte de passer une autre soirée, blottie contre toi, devant un bon film ou une émission de télévision.

Pour clore cette journée magnifique, je me suis endormie près de toi, ta chaleur, ta douceur, ton odeur. C'est tellement apaisant... tellement rassurant...

Je n'avais qu'une envie, qu'un autre jour s'amène pour que je puisse vivre à nouveau ce petit quotidien avec toi.

J'ai réalisé à quel point je m'entendais bien avec toi dans un lieu neutre qui n'était ni chez moi, ni chez toi. J'ai réalisé à quel point j'ai hâte de pouvoir vivre enfin avec toi sous le même toit. J'ai réalisé à quel point je voulais qu'on construise notre avenir à deux et qu'on élabore de petits et grands projets ensemble.

Enfin j'ai réalisé que j'étais bien... que j'étais en paix et que j'aurais voulu être condamnée à vivre et revivre cette semaine pour l'éternité...

mardi 5 février 2008

Je l'ai !!!

Ça y est !!! J'ai finalement été chercher ma nouvelle voiture ! Je suis tellement contente. Ça fait du bien de rouler dans du neuf. Qui peut dire ne pas aimer l'odeur de l'intérieur d'une voiture neuve? Personne.

Ça fait quand même beaucoup de tracas juste pour changer.

- Passer chez le concessionnaire pour voir le véhicule.

- Se faire donner un prix et négocier ce qu'on veut avoir avec le véhicule

- Tourner et retourner toutes les possibilités dans sa tête et évaluer son budget.

- Retourner chez le concessionnaire pour l'enquête de crédit.

- Faire tout un tas de téléphone pour trouver un nouvel assureur et annuler (ou modifier) la police d'assurances en cours.

- Retourner chercher le véhicule lorsqu'il est prêt et signer le contrat.

- Retourner l'ancien véhicule chez l'autre concessionnaire.

- Retourner une autre fois chez le concessionnaire chercher le cadeau de location : un camescope (parce qu'ils vont les recevoir seulement jeudi).

- Retourner encore et toujours chez le concessionnaire pour remplir un questionnaire avec le vendeur en échange d'un changement d'huile gratuit. Qu'est-ce qu'on ferait pas pour quelque chose de gratuit.

Et en plus de tout ça, j'oublie la classique promenade dans le quartier à la recherche, désespérée, d'une place de stationnement parce que la ville n'a toujours pas fini de déblayer la tempête de vendredi...

Somme toute, je suis très contente de mon acquisition et j'ai très hâte d'avoir un peu de temps pour aller magasiner des tapis d'hiver pour ne pas la salir trop vite ! :)

samedi 2 février 2008

Une nuit magique...

Premier vendredi de février, un an jour pour jour, une tempête de neige s'abattait sur moi. J'étais en voiture, à la hauteur de Bromont. J'ai dû m'arrêter pour mettre de l'essence dans mon véhicule.

Tu avais terminé ton travail, à 17h30 et je me souviens t'avoir appelé en partant de la station-service pour t'informer que j'aurais du retard. Comme à l'habitude, chaque fois que je me rend en Estrie, je suis toujours prise dans une catastrophe et ce vendredi, 2 février 2007, n'avait pas fait exception à la règle.

C'était la première fois que je me rendais dans ton patelin pour passer la soirée avec toi. Après notre première rencontre concluante, - je suis désolée, j'ai sauté le 1er anniversaire de notre première rencontre. Je parlerai, l'an prochain, du 2e anniversaire, c'est promis ! - deux visites surprises inattendues, et plusieurs nuits blanches à converser longuement au téléphone, j'estime que c'était à mon tour de me déplacer pour aller te voir.

Te voir évoluer dans ton environnement, comme je le dis si bien. Je suis arrivée à 18h45 à cause du mauvais temps et nous avions décidée d'aller souper ensemble quelque part - Scores,
si je ne m'abuse.

Je dois franchement dire que la fatigue commençait à nous rattraper. Le souper s'est très bien déroulé : tu me racontais ta semaine, et moi, la mienne. Tu me parlais de ta famille, je me souviens t'avoir écouté beaucoup plus qu'avoir parlé ce soir-là.

Après le souper, nous sommes aller voir un film. Je ne me rappelle pas du titre du film, mais je peut dire qu'il c'était moche, lol. Un soi-disant film d'horreur raté. Toi, tu as ris tout le long, moi j'anticipais les prochaines fois où je sursauterais. Je déteste les films d'horreur parce qu'il me font toujours sursauter... et je déteste sursauter pour rien.

Bref, pour éviter de me concentrer trop sur le film, j'ai jeté plusieurs regards dans ta direction. Je voulais ressentir ce que ça me faisait de me retrouver aussi près de toi. Je sentais mon coeur battre très vite et je me grisais de cette sensation.

Après avoir passé près de deux heures, confortables, dans les fauteuils du cinéma, nous avons été prendre un café au restaurant. Le seul restaurant ouvert 24h dans la région (je crois). C'est grâce à toi, que j'ai commencé à boire du café. C'est le seul truc qui ne coûte pas cher et qu'on peut faire réchauffer gratuitement.

Cette petite pause de deux heures nous a fait beaucoup de bien, nous avons retrouvé notre entrain et notre désir de vouloir toujours en connaître plus sur l'autre. Nous avons parlé jusqu'à 2h30 du matin. J'ai bu au moins sept cafés (si ce n'est pas huit), ce qui représente un record, dans mon cas.

Nous avons finalement quitter le restaurant vers 2h30. Je planifiais rentrer chez moi, et je faisais le calcul : au moins 2h45 de route, peut-être trois. C'était évident que je ne serais pas couchée avant l'aube.

Pour ta part tu t'inquiétais, tu m'as fait faire un tour sur l'autoroute, pour voir l'état des routes et tu m'as ramenée à mon véhicule. Tu n'étais pas d'accord à ce que je retourne chez moi dans de pareilles conditions routières.

Même si j'essayais de te rassurer, ce n'était pas suffisent. À mon grand étonnement, tu m'as proposé de louer une chambre, en fait, tu me payais une chambre pour que je passe la nuit à Sherbrooke.

Je t'ai alors dit, à la blague : " Si tu ne restes pas avec moi, je retourne à Montréal. Tant qu'à dormir toute seule à Sherbrooke, je préfère de loin dormir toute seule dans mon lit."

Nous avons donc pris une chambre. Tu m'as prise dans tes bras et toute la nuit durant, j'ai posé mon oreille sur ton coeur. Nous avons très peu parlé. Nous étions tout simplement bien d'être si près.

Je n'ai pas vraiment dormi cette nuit-là. J'étais tout simplement bien, de simplement exister. Tu as quitté au petit matin, il était plus de 9h et je t'ai regardé partir par la fenêtre de la chambre.

Il ne s'est rien passé de plus dans cette chambre durant la nuit du 2 au 3 février, mais cette nuit-là restera gravée dans ma mémoire pour des siècles à venir comme une des plus belles nuits de ma vie...

Encore aujourd'hui, chaque fois que je quitte Sherbrooke pour emprunter l'autoroute, nous passons devant ce fameux hotel et à chaque fois, j'espère secrètement que tu tournes, juste un peu avant la bretelle d'accès à l'autoroute pour entrer dans le stationnement du Président...