vendredi 25 janvier 2008

Tellement bien...

Le moment de vérité approche. Je me souviens que le 24 janvier 2007, nous avions décidé de finalement se rencontrer en personne. Après déjà trois nuits blanches à parler sans se fatiguer jusqu’à l’aube, il était temps que le supplice prenne fin et qu’on se voit en vrai.

J’étais inquiète. C’est toujours difficile de prévoir comment on va réagir lorsqu’on rencontre finalement une personne avec qui on correspond depuis quelques temps virtuellement. J’avais vu une photo, oui. Mais les photos, c’est tellement loin de montrer la réalité. C’est rare qu’on ait des photos qui datent de quelques jours sur son ordinateur. D’ordinaire, on possède toujours une vieille photo qu’on a fait numériser et qui date de trois ou quatre ans.

Malgré l’indice que la photo aurait pu me donner, j’étais quand même nerveuse. Il va arriver quoi, si jamais je ne suis pas attirée… Pire encore, si l’autre n’est pas attiré. Évidemment, ce sont des choses qui arrivent et qui ne sont pas la fin du monde. Sauf que la déception y est… et dure quelques temps. Et cette fichue déception, je voulais à tout prix éviter, j’en avais eu plus que mon lot durant l’année 2006.

Le jeudi 25 janvier, alors que nous parlions au téléphone, fidèles à nos habitudes, j’ai soudainement réalisé que le fameux vendredi où on devait se rencontrer était justement le lendemain et le stress commença à me gagner.

Il n’est toutefois pas resté très longtemps, ta voix calme et douce l’a chassé de mon esprit. J’étais si bien, bercée au timbre de ta voix. Tu me chuchotais à l’oreille tes aventures passées, tes secrets bien gardées, tes folies de jeunesse. Je ne me laissais pas de t’écouter.

Vers 3h30 du matin, tout juste avant de raccrocher la ligne pour aller dormir une heure ou deux… j’ai ressenti quelque chose de très fort, quelque chose de soudain. J’ai ressenti une sérénité tout simplement parfaite.

Je sais que c’est complètement insensé, qu’on ne s’était pas rencontrées, qu’on se connaissait à peine et qu’on ne pouvait pas prétendre à une relation amoureuse justement parce que tout était trop tôt.

Sauf que je l’ai senti quand même. C’était là, bien présent en moi : une chaleur indescriptible et une vague de bien-être. J’avais l’impression de m’élever et de flotter dans les airs.

Dans un souffle je t’ai murmuré : « Je voudrais que tu sois là ».

Un coup de coeur

J’ai eu un coup de cœur hier. En effet, ma location de voiture prend fin en juin 2008 et depuis deux mois, j’essaie de voir toutes les possibilités qui s’offrent à moi.

Sincèrement, je ne suis pas vraiment impressionnée par les véhicules offerts en ce moment : les Mazda, Honda, Suzuki sont beaucoup trop chers. J’ai tantôt penché pour la Yaris de Toyota, tantôt pour la Versa de Nissan, mais sans trop avoir de conviction.

Hier en surfant sur le site de Hyundai, j’ai découvert qu’ils offrent une toute nouvelle version de leur Accent. Un modèle 3 portes, hatchback à l’allure sportive et aux paiements mensuels vraiment très abordables.

J’ai craqué. Parce que je peux me permettre d’avoir un modèle tout équipé pour l’équivalent de ce que je paie présentement.

Je vais aller faire un tour chez le concessionnaire au courant de la semaine prochaine pour voir ce qu’ils m’offrent.

Je vous tiens au courant.

lundi 21 janvier 2008

Journée déprimante? Certainement pas !

J’ai entendu ce matin quelques informations au sujet du 21 janvier qui serait la journée la plus déprimante de l’année ! Plusieurs facteurs expliqueraient scientifiquement cette hypothèse : l'éloignement des résolutions, l'état minimal des finances, le mauvais temps et la faible luminosité. C’est la troisième semaine du mois de janvier, en plein cœur de l’hiver, on réalise souvent que les résolutions prises au 1er janvier ne tiennent plus.

Pour ma part, cette journée est loin d’être la plus déprimante de l’année. Dimanche 21 janvier 2007. Je me souviens m’être connecté sur MSN vers 16h30, juste avant le souper. Ce soir-là, tu étais en ligne aussi très tôt, nous avons immédiatement commencé à discuter.

Contrairement à mon habitude, j’étais beaucoup plus bavarde ce soir-là. Nous avons échangé sur plusieurs sujets, sur nos vies, nos goûts, nos ambitions, notre vision de l’avenir. C’est peut-être la première journée où tu as réalisé que la conversation n’était plus à sens unique, que je ne faisais pas que répondre à tes questions.

Quelques sous-entendus à caractère romantiques de part et d’autre, nous mettant inconsciemment au défi de dévoiler nos intentions, avaient mis un peu de piment dans nos échanges.

Nous avons clavarder plusieurs heures et, pour la première d’une longue série de conversations, je n’ai pas vu le temps passer. J’avais l’impression qu’on se connaissait depuis toujours. Tout ce que j’écrivais te rejoignait et ce que tu écrivais m’intéressait au plus haut point.

Il était près d’une heure du matin quand je t’ai souhaité bonne nuit. Je te voyais tourner autour du pot, me mentionnant que si un de ces quatre, d’ici quatre ans, de te mentionner si j’avais envie de parler au téléphone.

Un de ces quatre d’ici quatre ans ! Je trouvais ça tellement comique de te voir écrire des phrases si hésitantes que je t’ai lancé un « donne-moi ton numéro et je t’appellerai ».

Sans réfléchir et par défi surtout, j’ai composé les chiffres sur le combiné. Je voulais te faire sourire et te souhaiter une bonne nuit de vive voix.

Les dix premières minutes ont été très intimidantes. Non seulement j’entendais ta voix pour la première fois (j’ai été charmée, je l’avoue), mais aussi, je réalisais à chaque seconde ce que j’étais en train de faire : appeler chez toi à 1h du matin…

Finalement, nous avons continué notre conversation au téléphone, incapables de raccrocher. Il y avait tant de choses à dire… tant de choses à entendre… tant de choses à découvrir...

Il était tout près de 4h du matin quand finalement, nous avons conclu qu’il était mieux d’aller dormir. J’ai posé le combiné sur ma table de chevet et ma tête sur l’oreiller. J’ai fermé les yeux et je me suis endormie avec ta voix qui raisonnait encore dans ma tête…

dimanche 20 janvier 2008

Le déclic

Concrètement c'est ici que tout s'est révélé, en cette journée du samedi 20 janvier. Je t'ai croisé exceptionnellement durant la matinée. Tu m'as confié plus tard que c'était un hasard que tu te connectes le samedi matin, donc un hasard qu'on ce soit croisée cette journée-là.

Et ce fameux hasard a fait que j'ai obtenu une confidence qui, dois-je l'avouer, a nettement fait pencher la balance en ce qui me concerne. J'ai appris que tu jouais de la musique, et que tu donnais des spectacles.

Il était midi quand tu m'as écrit cette information et je devais quitter pour un rendez-vous chez ma coiffeuse. Je ne voulais plus partir, j'avais tant de choses à te demander, tant de choses à partager parce que nous avions en commun cette passion qu'est la musique.

Je suis restée au moins 3h30 - 4h chez la coiffeuse cette journée-là en attendant que la teinture fasse son effet. J'ai passé l'après-midi a me demander si concrètement je pourrais vivre une relation avec quelqu'un qui demeure aussi loin de moi, si cela pourrait être envisageable et si je ne me créais pas de fausses joies. Je me demandais si tu pouvais t'intéresser à moi pour plus qu'une simple amitié et si tu pouvais concevoir aussi vivre une relation amoureuse à distance. Je me souviens avoir penser longuement à tous ces éléments.

J'ai ressentis les "papillons" qu'on ressent parfois lors d'un début de relation amoureuse, juste à penser que ça pourrait peut-être marcher toi et moi.

Tu m'avais dit plus tôt que tu donnais un spectacle et que tu reviendrais vers minuit. Le soir venu, j'aurais voulu attendre. Attendre que tu reviennes. Je voulais vraiment te reparler le plus tôt possible. J'avais vraiment eu ce déclic durant la matinée. Vous savez, le genre de déclic qui fait qu'on sait... Inconsciemment, sans connaître les raisons... on sait tout simplement.

J'ai lutté jusqu'à 23h15 avant de sombrer dans les bras de Morphée... peut-être pour mieux rêver de toi...

samedi 19 janvier 2008

L'espoir de l'attente

Comme un film qui se déroule au ralenti, mon esprit devenait de plus en plus curieux à ton égard. Je me rappelle avoir eu plusieurs pensées pour toi durant la journée du vendredi 19 janiver.

Plusieurs flashs me revenaient en mémoire sur des propos que tu avais mentionnés, sur des questions que tu m'avais posées et sur les raisons qui motivaient ton choix de questions.

Évidemment, je ne voulais pas partir en peur, je ne voulais pas me faire d'idées non plus. Je ne voulais rien presser et surtout, je ne voulais pas faire les premiers pas. Je ne voulais pas montrer que je m'intéressais à toi.

J'étais, à ce moment-là, un peu blasée par tous les gens soi-disant, potentiellement intéressants que j'avais pu croisés durant la dernière année et vers qui je m'étais avancée pour finalement réaliser qu'ils m'avaient tous franchement déçue. Alors si j'étais pour vivre une déception cette fois-là, ce ne serait certainement pas parce que c'était moi qui s'était avancée vers toi en premier.

Malgré cette contrainte que je m'imposais et la lutte acharnée que je me livrais moi-même pour ne pas tomber dans mes mauvaises habitudes de vouloir faire le premier pas, je patientais. En même temps, mon esprit tournait à vive allure, se rappelant toutes les phrases que tu avais pu écrire.

Je me suis même surprise, à plusieurs reprises à retourner lire les conversations que nous avions eu depuis deux mois pour déceller une parcelle d'information que je pouvais ignorer encore. (Quelle honte à avouer...)

Je ne t'ai pas croisé ce soir-là. Sauf que je me souviens parfaitement avoir passée toute la soirée en état d'alerte, attentive au moindre bruit indiquant une connexion d'un de mes contacts MSN en espérant... secrètement... que ce soit Toi...

vendredi 18 janvier 2008

Le questionnaire...

S’il y a deux choses que je sais, c’est que tu es un être particulièrement nostalgique et que tu adores te replonger dans le passé pour te remémorer de bons souvenirs, ressentir un peu de tristesse de ces moments à jamais disparus, mais bien gravés dans ta mémoire.

Je sais aussi que tu adores par-dessus tout savoir ce que je pense, ce que j’ai pensé et comment je me suis sentie face à telle ou telle situation.

Voilà la raison pour laquelle je relate certains faits de nos premiers instants ici depuis le début de la semaine, simplement parce que je sais que tu éprouveras un grand plaisir à les lire et à te souvenir…

Donc, 18 janvier 2007. C’était un jeudi si je me souviens bien. Un jeudi où nous avions échangé jusqu’à plus d’une heure du matin sur MSN. Je n’ai pas tellement modifié ma façon de correspondre avec toi. Je n’ai pas tellement posé de question sur ta vie, mais j’ai été attentive à la moindre petite information que tu me fournissais sur ta personne.

Je me souviens que tu avais posé énormément de questions ce soir-là et j’ai commencé, à cet instant, à sentir que je te plaisais bien, ou du moins que tu t’intéressais à moi autrement que pour une éventuelle amitié.

Des questions tordues, oui, qui s’apparentaient drôlement bien à ta réalité et c’est ce que j’ai trouvé de plus comique. Tu faisais le tour du pot, cinquante fois sans jamais basculer. Tu me demandais mon opinion sur plusieurs réalités de la vie amoureuses qui te touchaient de près ou de loin.

Je t’ai laissé faire, un peu amusée de la situation. Plus tard, tu m’as confirmé que ce n’était pas planifié du tout et que tes questions étaient posées au hasard.

Autant j’ai pu être froide et distante les semaines précédentes, autant, cette journée-là, j’ai été très intéressée par tous tes propos, me rappelant certaines choses que tu m’avais écrites quelques temps auparavant et faisant des liens dans ma tête avec les nouveaux éléments qui s’ajoutaient.

Le déclic s’est effectué ce soir-là, j’ai commencé à te voir comme une personne avec qui je pourrais peut être avoir une relation un peu plus intime qu’une simple amitié.

mercredi 16 janvier 2008

Retour dans le passé...

Est-ce qu’il vous est déjà arrivé de revivre un moment en pensée, en émotion même si cet événement se trouve à faire partie d’un passé plus ou moins lointain ?

J’ai eu cette sensation juste hier soir avant d’aller dormir. J’ai eu l’impression de revivre un moment de mon passé et d’avoir exactement le même état d’esprit que lorsqu’il s’est produit pour la première fois.

Il a duré quelques secondes, deux ou trois peut-être, mais juste assez longtemps pour que je puisse réaliser consciemment la chose.

C’est drôle à dire parce que nous nous parlons chaque jour, le matin avant d’aller au travail, le soir en revenant à la maison, parfois dans la soirée depuis maintenant un an et je suis habituée à ta voix, à tes expressions, à ton vocabulaire, à tes petits-mots doux.

Par contre, je n’ai plus l’occasion de te parler juste avant de dormir. De te parler, comme j’aime tant, une fois toutes mes tâches de la soirée complétée ; après avoir pris un bon bain et revêtu mon pyjama, je me glisse sous les couvertures, bien emmitouflée, les lumières closes, prête pour la nuit qui vient.

À cet instant, la sonnerie du téléphone retentit, je t’entends au bout du fil. Ces conversations de fin de soirée sont toujours très stimulantes pour moi. J’ai l’impression que tu es plus près de moi. Le confort de mon lit, la chaleur de la couverture, la pénombre de ma chambre et ta voix, dans un murmure parce que toi aussi, tu as adopté la même routine de fin de soirée.

Tu me parles tout doucement, à demi-voix et ça me donne l’impression que tu es juste à côté de moi. Je ferme les yeux et je peux te sentir, je voudrais te serrer contre moi.

Hier soir, alors que, par un hasard extraordinaire, j’ai pu te parler cinq minutes juste avant de m’endormir, j’ai vécu à nouveau ce bien-être que j’avais l’habitude de ressentir quand nous parlions des heures durant au téléphone jusqu’à trois heures ou quatre heures du matin.

J’ai entendu encore cette petite voix douce et faible qui incite à la détente, comme si j’étais dans tes bras et que tu me berçais jusqu’à ce que je m’endorme…

mardi 15 janvier 2008

Et c'est ici que tout à commencé

" Le voilier accosta. Un ciel bleu sans nuage se reflétait dans la rivière calme. Elle coulait, depuis cent ans déjà, à travers des rochers qui pointaient ça et là, brisant le cours tranquille de sa descente. Une falaise abrupte, majestueuse et imposante, sculptée dans le roc se dressait sur la droite.

En arrière-plan, de très hautes montagnes découpaient le prolongement du ciel dans l’eau. Des arbres, verts et magnifiques, se dressaient sur les flancs montagneux en habillant ce paysage purement superbe. Le bruit… oui le bruit… celui de la rivière à travers les rochers, du vent dans les arbres… le gazouillis des oiseaux…

Il y avait autre chose.

Les battements de cœur d’Ariane…

Pour la première fois depuis fort longtemps… cette nuit-là, paisible, elle rêvait."


Fin

Et c'est ici que tout à commencé... sur ces dernières lignes de mon premier roman. Tu n'as cessé de me couvrir d'éloges tellement tu semblais renversée par ma façon d'écrire. Pourtant, elle n'avait rien d'exceptionnelle à mes yeux. Une inspiration que j'ai eu et un défi que je m'étais lancé qui a eu, finalement, des résultats vraiment inattendus : je t'ai connu grâce à ce très cher texte.

Je me souviens des nombreuses heures passées à écrire, à changer une virgule, à lire et relire, changer un mot, trouver un synonyme, pour finalement remettre la fameuse virgule à la même place qu'elle était au départ. Je me souviens des longues marches en solitaire pour essayer de trouver comment faire aboutir mon histoire à cette fin que j'avais déjà trouvé en commençant à écrire. Je me souviens d'avoir saturé mon esprit d'hypothèses afin de trouver un "punch" original avant la fin de l'histoire.

Bref, le travail a porté fruit : je t'ai rencontré, Toi. C'est durant cette soirée, du 17 janvier 2007, où par défi, je t'ai envoyé le premier chapitre de mon livre afin de te prouver que tu avais tort de dire que tu n'aimais pas lire. Et j'avais tellement raison, que j'ai dû t'envoyer en rafale tous les autres chapitres.

À partir de cet instant, j'ai été tellement ravie de voir que tu me donnais des commentaires pertinents sur mes écrits, que tu ne faisais pas que dire " C'est bon ! ", comme la plupart qui ont lu ces textes. Toi, tu posais des questions, tu t'intéressais aux personnages, tu me donnais ton appréciation en appuyant tes propos sur des exemples concerts. Tu te distinguais de la masse du plus commun des mortels à mes yeux pour t'élever au rang de personne digne de mon intérêt !

Je sais, ça fait prétentieux, mais j'ai été impressionnée. Impressionnée parce que tu t'intéressais tellement au personnage de mon roman qui me représentait, moi, finalement. C'est alors que j'ai senti que tu t'intéressais à moi comme personne et non pas juste pour le plaisir de vouloir rencontrer quelqu'un, ou avoir quelqu'un dans son lit, mais tu t'intéressais à qui j'étais dans ma tête et dans mon âme.

Depuis quelques semaines, tu t'acharnais à venir me parler et où je répondais, sans trop m'intéresser à toutes les questions que tu pouvais me poser en une soirée (et Dieu sait que tu poses beaucoup de questions quand tu t'y mets). Tout a débuté ce fameux soir, il y a un an déjà (il me semble que ça sonne comme une chanson de Joe Dassin).

C'est là que j'ai remarqué la première fois que tu existais en tant que personne et que j'ai commencé à m'intéresser à qui tu étais, dans ta tête et dans ton âme...

Hommage à mon frère

Je veux profiter de cette journée pour faire un hommage à mon cher petit frère qui a 28 ans aujourd’hui même.

C’est évident qu’on ne se voit pas souvent. D’abord, parce que nous demeurons dans des villes différentes et quand même assez éloignées et ce, depuis près de dix ans bientôt.

Ensuite, parce que nos emplois du temps ne nous donnent pas beaucoup de moments libres pour se voir. En effet, mon frère travail sur les « chiffres », parfois il travaille de jour, d’autres fois la nuit et toujours en alternance d’une fin de semaine sur deux.

Puis, nous avons chacun nos vies. Il a sa copine qui habite avec lui avec qui il veut passer du temps, il a ses amis, sa musique, ses loisirs, etc. De mon côté, j’ai mes cours de musique, mes loisirs, mes amis et surtout ma vie sentimentale…

On se voit aux anniversaires, aux fêtes de famille, aux rencontres de toutes sortes, mais jamais on prend de temps pour se voir juste nous deux ensembles.

J’avoue que parfois, ça me manque. Les longues conversations qu’on avait sur nos vies personnelles, des moments de folies, une belle complicité, des confidences, des souvenirs qu’on se rappelait.

Il faudrait trouver du temps pour toute ces choses, prends une petite journée, une petite soirée pour faire le point sur ce qui nous arrive.

Je pense que je vais lui en parler !

En attendant, je te souhaite un très bel anniversaire à toi mon petit frère chéri !!!

dimanche 13 janvier 2008

Rouge passion

Telle une rose rouge parmi les roses blanches, notre union contraste merveilleusement bien avec la grisaille du temps. Rouge passion... je n'aurais jamais cru vivre une relation si remplie d'émotions à fleur de peau.

Je ne sais pas pourquoi je me suis sentie si près de toi hier. Ce n'était pas différent qu'habituellement, on avait passé la soirée ensemble le vendredi, et on se voyait le samedi plutôt que le dimanche.

J'ai ressenti une incroyable sensation d'un accord parfait toute la journée durant. J'aurais voulu vivre cette journée indéfiniment.

Une bouffée d'adréanline au coeur, alors que tu me demandais dans un souffle : " est-ce que tu penses que c'est ça la passion?" Je n'aurais pu trouver de paroles plus intenses et justes à cet instant précis.

J'ai été connectée à ton âme à la seconde où tu as franchi la porte d'entrée et même après ton départ, je suis restée suspendue des heures durant... telle une plume qui se balance au vent tout doucement jusqu'à ce qu'elle touche le sol.

Est-ce que la passion s'étient avec le temps. Possible oui, à ce que tous s'entendent pour dire. Sauf que dans mon cas, le rouge est toujours aussi intense et marqué qu'au tout début.

mardi 8 janvier 2008

Un an déjà !!

Bon anniversaire ! Déjà un an que je correspond ici avec vous, que je tiens ce journal de bord.

Quand je jette un coup d'oeil derrière moi, je constate que j'en ai fait du chemin depuis un an. C'est d'autant plus véridique que j'ai écris ici, au fur et à mesure, mes pensées, mes états d'âmes, mes réalisations, mes espérences.

Je dois admettre que plus jeune, je n'ai jamais eu la volonté d'écrire chaque jour un journal intime relatant de mes profondes pensées. Par contre, ici, c'est différent. Peut être le fait qu'il soit informatisé, ou présenté de façon agréable. Peut être le fait de pouvoir ajouter des images, et de supprimer les textes qu'on aime moins. Les possibilités sont là, il suffit seulement de les exploiter.

Il m'arrive parfois de relire certains de mes textes, un sourire me vient aux lèvres. J'étais naïve d'écrire telle ou telle chose, mais sur le coup, le fait de le transcrire ici m'a fait du bien, m'a libéré un peu de ces émotions négatives ou trop positives.

Je suis, par définition, une fille nostalgique. J'aime me rappeler ce que je faisais à pareille date il y a une semaine, il y a un mois, il y a un an. Je crois que ce que j'apprécie le plus de ce blog est le fait de conserver une partie de soi figée quelque part dans le temps.

Juste le fait de parcourir quelques lignes me replonge dans un univers vécu et disparu, une façon de voyager dans le passé, avec les états d'âmes, les émotions, les questionnements que ça implique.

Un an déjà et j'ai l'impression d'avoir commencer à écrire hier. Je trinque à une prochaine année en votre compagnie.

Longue vie !

lundi 7 janvier 2008

Euréka !!!

J'ai enfin trouvé, par moi-même une logique à jouer de la basse et j'en suis fière, vraiment très fière.

J'avais 8 gammes majeures à apprendre pour la semaine prochaine et en à peine trente minutes, j'ai maîtrisé la totalité d'entre-elles.

Je peux les jouer, dans l'ordre, dans le désordre, nommez m'en une et je l'exécuterai avec brio !

Enfin une alternative intéressante à la *putain* de lecture à vue que je déteste tant. Quatre petits doigtés à apprendre pour jouer 8 gammes majeures.

C'est parfait pour moi !

Retour au boulot

Voici l'air que j'ai depuis ce matin, pour plusieurs raisons, dois-je le préciser.

Le retour au travail annonce inévitablement la fin de la période des Fêtes. Période dont je n'ai pu profiter à ma guise cette année étant donné qu'encore une fois, pour la millième fois depuis mai dernier, je suis encore malade.

Un beau cadeau de Noël que mon charmant petit (!) frère m'a aimablement transmis avec toute la gentillesse et la bienveillance du monde. Donc un autre rhume, grippe, ou je ne sais quelle bébitte je tente de combattre sans relâche depuis le 2 janvier.

Somme toute, une première journée au boulot m'a changé les idées, retrouver mes dossiers, faire de l'ordre dans mes courriels après une semaine d'absence et constater que j'ai toujours la main, que j'ai pu faire le tour en quelques heures seulement et poursuivre, le plus normalement du monde le reste de ma journée à prendre un peu d'avance sur ce qui vient.

Heureusement que j'ai pu procéder ainsi parce que mon patron m'annonce que j'aurai une autre formation de deux jours à donner dès mardi prochain. J'aime beaucoup faire de la formation, mais pas en faisant mon travail quotidien. Aller donner une formation, quand on sait que quelqu'un s'occupe de nos tâches les plus pressantes, c'est beaucoup plus intéressant que de donner une formation en répondant aux appels et aux questions du personnel à tout moment de la journée.
Je sais que je prendrai un retard considérable dans mon travail à cause de ce contre-temps nécessaire... Espérons seulement que les gens qui suivront la formation resteront en poste assez longtemps pour transmettre leurs connaissances aux nouveaux venus...
Histoire à suivre...

dimanche 6 janvier 2008

Mon âme-soeur

Il paraît que nous avons tous, quelque part sur cette terre, un complément, une âme-soeur.

Est-ce que vous y croyez? Est-il possible que chacun de nous ait la tâche de retrouver parmi plus de six milliards d'individus sur la planète, celui ou celle qui lui convient parfaitement.

Je me suis souvent demandé, en regardant évoluer les couples autour de moi, comment font-ils pour savoir que c'est la bonne personne pour eux.

J'avoue que je ne peux toujours pas, en date d'aujourd'hui, expliquer comment on sait. Par contre, je peux dire une chose, c'est que lorsqu'on le sait... on le sait...

Évidemment, rien n'est acquis, rien n'est facile et rien n'est garantie. Je n'ai aucune certitude que cette relation qui me comble au plus haut point actuellement durera éternellement, même si une partie de moi, rêveuse, le souhaite ardemment.

Sauf que je peux dire une chose... jamais, au grand jamais, je n'ai rencontré une personne qui me complétait autant. Je vis sur un nuage depuis bientôt un an et en aucun temps je n'en suis redescendue. Je regarde les gens d'en haut, et je remercie la vie chaque jour du bonheur que je ressens.

Le temps passe si vite. Bientôt, la nostalgie commencera son oeuvre... 17 janvier... 21 janvier... 26 janvier... 2 février... 4 février... 7 février... et finalement 11 février... des moments chers remplis de souvenirs, remplis de tendresse et de passion, une passion naissante, à peine voilée, palpable du bout des doigts... 1 an déjà...

À toi, mon âme-soeur, tu as su trouver la clé de mon bonheur. Je souhaite que 2008 soit à la hauteur de tes espérances et puisses-tu trouver, auprès de moi, la quiétude, le confort, la sérénité nécessaire à ton bien-être pour toute l'année durant.

mardi 1 janvier 2008

Nouvelles résolutions

Je ne sais pas pour vous, mais j'ai l'impression que tout le monde essaie de partir avec une bonne volonté à chaque nouvelle année. La frénésie s'estompe généralement dans les deux ou trois premiers mois.

Évidemment, je ne fais pas exception à cette règle et à chaque nouvelle année, je pars toujours, complètement décidée, à améliorer mon sort et j'abandonne toujours en cours de route par manque de motivation, par oubli ou parce que je trouve mieux à faire que de m'occuper de moi.

Alors, comme on sait très bien que les paroles s'envolent et que les écrits restent, j'inscris donc ici quelques idées sur lesquelles j'ai envie de travailler durant la prochaine année.

1. Prendre soin de ma santé :

- Cesser de remettre mes rendez-vous chez le médecin pour le contrôle de mon asthme.
- Cesser de me promener pendant des semaines, voire des mois, avec une pompe vide.
- Prendre ce fameux rendez-vous chez le dentiste que je remets depuis au moins un an.

2. Manger mieux, bouger plus :

- Manger plus sainement et réduire les portions et ce, au moins cinq jours par semaine.
- Renforcir ma hanche blessée en faisant quelques exercices de base qui demandent un peu de cardio-vasculaire (vive l'Internet qui donne une foule d'alternatives quand on pense que tout est perdu).
- Prendre une bonne marche rapide de 20 minutes au moins trois fois par semaine.

3. Respecter mon budget :

- Cesser de faire de folles dépenses sur un coup de tête et m'en tenir à ce que je planifie.
- Mettre de côté les sous économisés en restaurants pour m'offrir quelque chose que je désire depuis longtemps (à déterminer).
-Rembourser mes cartes de crédit (priorité no. 1)

4. Acheter ma voiture (ou une voiture):

- Je suis ambivalente quand à la finalité de cette résolution, mais quoi qu'il en soit, elle viendra rencontrer le point no. 4 des projets que je désire accomplir au long de ma trentaine.

Il me semble que ça fait beaucoup... mais je vais essayer de tenir le coup, d'autant plus que j'ai plusieurs témoins de ma démarche à venir !

Au plaisir de voir si tout à bien fonctionné d'ici la fin de l'année !

Bonne Année 2008 à toutes et à tous !!

Le sou noir

Bienvenue en cette nouvelle année 2008 !!! Je débute illico cette nouvelle année par une, hum comment dire, superstition peut-être, croyance , ou simplement un petit rituel qu'on s'amuse à faire dans ma famille depuis deux ans déjà.

Je dois affirmer que dans ma longue expérience d'un an, en la matière, je dois dire que ça fonctionne. Aucune malchance financière considérable ne s'est abattue sur moi en 2007. Je n'ai pas remporté de gros lot, quelques rentrées d'argent inattendues ont permis de régler mon prêt d'étude (enfin) et l'achat d'articles dont je rêvais depuis longtemps.

Alors voici donc la théorie. Le 31 décembre, alors que vous quittez la maison pour l'endroit où vous devez vous rendre pour fêter le Nouvel An, vous devez placer un sou noir au pas de chaque porte donnant sur l'extérieur de votre maison ou de votre appartement. Vous devez placer le sou à l'extérieur, c'est très important.

L'histoire veut ensuite qu'à votre retour de la fête, après minuit, avant de pénétrer dans la maison, vous devez prendre le sou et le lancer à l'intérieur de façon à faire "rentrer l'argent" dans votre maison. Si vous avez plusieurs portes, vous devez lancer tous les sous à l'intérieur avant de pénétrer vous-mêmes.

Évidemment, si vous êtes seul(e) à la maison, sortez prendre une petite marche deux minutes avant minuit, de manière à toujours lancer vos sous à l'intérieur avant d'y pénétrer.

Si vous avez effectué ces étapes correctement, vous devriez être à l'abri de tout problème financier pour l'année à venir. Peut-être même qu'avec un peu de chance, vous pourrez faire des gains inattendus.

Une dernière chose que j'ai apprise cette année est qu'idéalement, il faut faire l'exercice avec des sous noirs trouvés en cours d'année. Malheureusement pour moi, ceux que j'ai trouvé ont été mêlés aux autres que je possédais déjà, je n'ai donc pu les différencier. J'ai donc pris au hasard deux sous dans mon bocal. Mais je compte bien mettre de côté deux sous trouvé pour refaire le test le 31 décembre 2008 !!!