dimanche 20 janvier 2008

Le déclic

Concrètement c'est ici que tout s'est révélé, en cette journée du samedi 20 janvier. Je t'ai croisé exceptionnellement durant la matinée. Tu m'as confié plus tard que c'était un hasard que tu te connectes le samedi matin, donc un hasard qu'on ce soit croisée cette journée-là.

Et ce fameux hasard a fait que j'ai obtenu une confidence qui, dois-je l'avouer, a nettement fait pencher la balance en ce qui me concerne. J'ai appris que tu jouais de la musique, et que tu donnais des spectacles.

Il était midi quand tu m'as écrit cette information et je devais quitter pour un rendez-vous chez ma coiffeuse. Je ne voulais plus partir, j'avais tant de choses à te demander, tant de choses à partager parce que nous avions en commun cette passion qu'est la musique.

Je suis restée au moins 3h30 - 4h chez la coiffeuse cette journée-là en attendant que la teinture fasse son effet. J'ai passé l'après-midi a me demander si concrètement je pourrais vivre une relation avec quelqu'un qui demeure aussi loin de moi, si cela pourrait être envisageable et si je ne me créais pas de fausses joies. Je me demandais si tu pouvais t'intéresser à moi pour plus qu'une simple amitié et si tu pouvais concevoir aussi vivre une relation amoureuse à distance. Je me souviens avoir penser longuement à tous ces éléments.

J'ai ressentis les "papillons" qu'on ressent parfois lors d'un début de relation amoureuse, juste à penser que ça pourrait peut-être marcher toi et moi.

Tu m'avais dit plus tôt que tu donnais un spectacle et que tu reviendrais vers minuit. Le soir venu, j'aurais voulu attendre. Attendre que tu reviennes. Je voulais vraiment te reparler le plus tôt possible. J'avais vraiment eu ce déclic durant la matinée. Vous savez, le genre de déclic qui fait qu'on sait... Inconsciemment, sans connaître les raisons... on sait tout simplement.

J'ai lutté jusqu'à 23h15 avant de sombrer dans les bras de Morphée... peut-être pour mieux rêver de toi...

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