vendredi 10 août 2007

Il fallait bien en parler...

Oui. Il fallait bien en parler pour que ça m’arrive. Je ne me suis pas couchée tard outre mesure hier soir. Après avoir pratiqué un peu ma technique de basse, fait quelques tâches ménagères et embrassé mes tous petits, je m’installe donc dans mon lit pour la nuit.

J’ai passé une nuit relativement sereine et réparatrice. Mon cadran sonne à 6h pile. Même si je commence à travailler seulement à 8h30, j’aime avoir la chance de paresser un peu au lit le matin. Je déteste par-dessus tout me lever et être stressée de me préparer pour me rendre au bureau parce que je manque de temps.

Il n’y a rien de plus merveilleux que de se réveiller tranquillement et de pouvoir se dire qu’il nous reste plus d’une heure avant de se lever.

D’ordinaire, je reste au lit jusqu’à 7h15, 7h30 en écoutant distraitement les bulletins de nouvelles et la musique à la radio. Je me réveille lentement, profitant de ces quelques instants de relaxation avant d’entreprendre ma journée de travail.

Ce matin, par contre, le cadran sonne, comme d’habitude à 6h. Étant habituée, j’y porte plus ou moins attention et je me rendors aussitôt, la musique toujours en marche. Je me réveille brusquement et je fixe intensément mon cadran !

Oh là là, je me lève en rapidement, je me dirige à la salle de bain et fais ma toilette. Je me lave et sèche les cheveux d’une main, de l’autre main, je remplis les bols de nourriture de mes chats. Je m’habille en toute vitesse.

Je déteste être en retard.

Une fois tout ça terminé, je me dirige à la cuisine pour avaler d’une bouchée un muffin et boire un verre de jus. En plaçant mon assiette au four micro-onde pour réchauffer mon muffin, je vois l’heure : 6h45.

Arghhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!

J’ai déjà été victime du temps ainsi dans mon adolescence où vers 4h ou 5h am, je me levais en pensant que j’étais en retard et je réveillais toute la famille en faisant couler mon bain. Mais ça ne m’était pas arrivé depuis belle lurette.

Il fallait bien en parler mercredi pour que ça m’arrive après tant d’années de sursit...

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