mardi 11 septembre 2007

Une heure.

Voici une primeur pour vous, chers lecteur, le titre officiel de mon deuxième roman !

Je n'ai toujours pas trouvé de titre pour mon premier roman, mais ça viendra sans doute. Pour ne pas que ce problème, avouons-le, quelque peu gênant se reproduise (un livre sans titre), j'ai donc déterminé le titre avant même de savoir ce que j'allais écrire!

Le texte remet donc en scène mes deux personnages du précédent roman. Ce n'est pas une suite, on pourrait très bien lire celui-ci avant l'autre. Par contre, je m'intéresse davantage à la dimension psychologique d'Ariane, qui était mon personnage secondaire dans le premier tome.

On passe donc une heure dans la vie d'Ariane. On entre dans son univers et on découvre à travers les pages ses pensées cachées, ses inquiétudes, ses émotions enfouies dans un contexte bien précis, que je me garde de vous écrire ici, pour ne pas dévoiler le punch final (que je n'ai pas encore trouvé, lolll).

Cette fois-ci, j'ai décidé de ne pas m'imposer de contrainte de chapitres. L'histoire finira quand elle finira, lol. Je passe donc au peigne fin, chaque minute de cette heure effrenée, seconde par seconde et je scrute à la loupe la moindre de ses pensées.

Parallèlement, on retrouve aussi en plan secondaire, mon personnage anonyme du premier roman dans une situation plutôt critique, qui est toujours jusqu'à la page 25... anonyme. Je prends un malin plaisir à ne jamais la nommer, à ne jamais la décrire. Parce qu'elle fait partie intégrante du roman tout en étant en même temps observatrice. Je dirais qu'elle me représente globalement, parce qu'on peut facilement se mettre à sa place et employer le prénom ou la description qu'on veut. Bref, c'est un caprice d'auteure, simplement !!!

J'ai décidé de mettre en perspective la notion de temps en faisant ressortir l'interprétation de chacun face à cet agent externe auquel nous sommes tous contraints de nous plier et de démontrer à quel point la perception de chacun peut être diamétralement opposée par rapport à un dénominateur commun qu'est ce fameux facteur-temps. Tout ça, en exploitant à l'extrême deux sentiments primaires : la peur et l'inquiétude dans un rythme endiablé que j'essaie de conserver le plus possible jusqu'à la fin du roman.

Ouf !! Je suis vraiment emballée et des tonnes d'idées se bousculent dans ma tête et ne demandent qu'à être couchées sur papier.

Je vous laisse sur ces quelques mots, qui constitue ma ligne directrice et mon inspiration pour ce roman...

Une heure c'est une heure, soixante minutes, trois mille six cents secondes. Pas une de plus... pas une de moins...

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